Sous ce nom rare de Lucien Primaube se cache un pseudonyme peut être lié aux villages de Luc et de La Primaube dans l’Aveyron, commune aujourd’hui dénommée Luc-la-Primaube.
Dans l’unique article dont il est l’auteur, Lucien Primaube dressait un état des lieux du transpyrénéen peu engageant. Il estimait que l’absence de traité de commerce entre la France et l’Espagne serait préjudiciable au trafic, que le trafic voyageur resterait uniquement local et que le trafic des régions industrielles de Catalogne et du Pays-Basque continuerait de se faire majoritairement par le transport maritime. Cet article fit grand bruit et beaucoup de lecteurs réagirent en publiant des droits de réponse dans différents journaux, soulignant les nombreuses omissions et reprochant à l’auteur de se cacher sous un pseudonyme.